Les bâtisseurs

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Sur le chemin des bâtisseurs

Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours - Montréal

Église du XVIième siècle sur un ancien site amérindien

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Sur le chemin des bâtisseurs

Église Notre-Dame de l'assomption - Bougival

Église romane du XIIième siècle dont l'origine serait de 1070

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Sur le chemin des bâtisseurs

Église Saint-Eustache - Paris I

Église gothique du XVI ième siècle

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Sur le chemin des bâtisseurs

Église Saint-Séverin - Paris V

Église gothique du XV ième siècle

Préface

Sur le « chemin des bâtisseurs » a commencé au Québec, dernier endroit où je pensais découvrir le savoir des bâtisseurs du moyen-âge amené par les premiers colons en Amérique du Nord, soit au XVIe siècle. Persuadé que seul mon pays natal avait su préserver dans ses pierres ce savoir, celui-ci fut sûrement exporté en Nouvelle-France par des moines bâtisseurs, héritiers directs du savoir druidique. Nous le verrons, ce savoir fut incorporé aux chapelles du Nouveau Monde ainsi que l’import de pierres d’angulaires provenant de sites ancestraux français. Les fondements de l’architecture sacrée furent ainsi posés en Nouvelle-France, mais, en raison de l’invasion britannique, celle-ci ne pût connaître un essor aussi vaste que ne l'aurait certainement souhaité les Maîtres d'Œuvre.. Avec la domination anglaise est survenue la prépondérance de l’architecture anglicane, qui prit le dessus, sûrement influencée par les loges maçonniques anglaises. Au XIXe, un renouveau du style architectural, renouant avec le néo-gothique, se produit au Canada francophone. On verra que des échanges se sont dès lors faits entre la France et le Québec en ce qui à trait le savoir architectural. Est-ce que ces échanges se sont effectués via les loges maçonniques francophones ? C’est un champ qui reste à explorer pour des recherches ultérieures.

Lors d’études géobiologiques ayant pour objet des églises, il fut possible de constater que certaines d'entre elles ont une énergie particulière, comment les architectes de l’époque ont su positionner ces églises sur de hauts sites vibratoires et manier ces énergies de lieu ? Ce livre est le fruit d'une recherche et enquête géobiologique qui dure depuis plus de trois ans. En voyageant entre la France et le Québec, étudiant à distance par radiesthésie les églises, j'ai pu constater qu'une telle entreprise ne prendra jamais fin ; une forme de quête du Graal ? Mon premier engouement pour les bâtisseurs du moyen-âge eut lieu lors du parcours du chemin de St-Jacques de Compostelle que je suivis par télé radiesthésie, une étude à distance fonctionnant à merveille avec le pendule, que je pratique depuis plusieurs années. J’ai travaillé à distance sur trente-sept églises du parcours. Des choses sont immédiatement ressorties, notamment des points communs entre chaque site. Expérience vraiment enrichissante, voire initiatique, à différents niveaux.

Je tiens à remercier des auteurs géobiologues, comme Jacques Bovin, qui ont pu m'éclaircir sur certaines façons faire des bâtisseurs. Malgré ces informations précieuses, certaines pratiques restaient inconnues, comme le carré magique, que j’ai eu le plaisir de découvrir ici, sur un site religieux au Québec. Il me semblait dès lors que la littérature actuelle comportait des lacunes. Ainsi, quoique Stéphane Cardinaux dans ses livres « Géométrie Sacrée I et 2 », architecte-géobiologue suisse, explique bel et bien le fonctionnement énergétique des églises et certains symbolismes, cela me paraissait insuffisant en ce que, pour moi, ce travail exploitait les ramifications d'un savoir premier, une source, alors j’ai décidé de remonter à la Source ; aux Anciens, qui avaient le Savoir et qui ont su le faire vivre dans la Pierre. Mon enquête a commencé par les Druides et leurs savoirs qui, quoiqu’oraux, sont inscrits et connaissables par les mégalithes, positionnés sur des courants telluriques désignés par la Vouivre. En étudiant leur cosmogonie et la façon de bâtir une église au Moyen Âge, j'ai pu établir beaucoup de connexions entre ces deux univers, qui semblent a priori contradictoires, puisque la religion catholique a voulu camoufler ces traditions dites païennes. Toutefois, nous constatons que l’architecture de l’église du Moyen Âge fut largement influencée par les savoirs druidiques et que ceux-ci ont même servi de fondement à la construction de ces églises. Les constructions et les rites païens sont en interrelation, c’est un Tout. L’art gothique suivit l'architecture médiévale, où l'influence du Moyen-Orient, s'effectuant via la quête des templiers, est indéniable. D’autres symboles de l’architecture des églises s'ajoutèrent au fil du temps, tirant probablement leur origine de l’ancienne Égypte, dont la symbolique fut reproduite par les bâtisseurs de l’époque, dit la Franc-maçonnerie opérative, ancêtre direct de la Franc-maçonnerie actuelle, quoique cette dernière ne travaille plus la pierre pour y incarner le Verbe. La Franc-maçonnerie a tout de même su ramener par ses traditions ce savoir symbolique. Ce symbolisme est encore présent dans les églises contemporaines et même dans certaines églises au Québec. C'est ce qui m’amena à étudier leurs rituels afin de comprendre, à l'aide de comparaisons, comment la symbolique franc-maçonne a pu être transposée à l’époque dans les cathédrales. Ceci sans avoir l'intention de porter un jugement ou de véhiculer des préjugés sur la franc-maçonnerie, mais plutôt dans l'optique d’accueillir le message et le symbolisme des Anciens. Je n’ai pas encore toutes les réponses. J’ai des hypothèses qui, à mon sens, se tiennent, mais je peux vous dire que, maintenant, lorsque j'entre dans une église romane ou gothique, je n'entre pas dans une église chrétienne mais dans un vaisseau cosmo-tellurique, où le Créateur, le Tout, comme vous voulez, s’incarne et s’exprime par et dans la Pierre.

Dans le cadre de la géobiologie sacrée, je vous présente et partage mes recherches depuis trois ans entre la France et le Québec qui a donné ce livre "Sur le chemin des bâtisseurs", sujet riche et passionnant..

Pour accéder à la conférence, il suffit de cliquer sur l'image, vous serez redirigé vers le site des cours en ligne de l'école :

L'École nationale de géobiologie nommé aussi l'école de la Terre a été fondée par Benoît Tramblay en 2011

L'École de la Terre désignée maintenant comme école nationale de géobiologie, a été la première école à faire reconnaitre la géobiologie auprès de certaines associations de naturopathie et naturothérapie du Québec et à obtenir une assurance professionnelle pour les géobiologues.

Elle est reconnue comme établissement d’enseignement privé auprès des gouvernements (Ministère du revenu du Québec et Emploi et développement Canada), elle peut donc fournir des reçus pour frais de scolarité.

L'École nationale de géobiologie est le seul établissement au Québec et Canada dont la vocation unique est d'offrir des formations professionnelles et ateliers pour le grand public en géobiologie.

Elle est aussi la représentante officielle de la Fédération Française de Géobiologie en Amérique du Nord, elle continue ses démarches pour arriver à un niveau de reconnaissance comme en Europe.

Sa mission:

  • (ré)concilier l'approche sensitive avec le monde scientifique
  • Amener la géobiologie à un niveau de professionnalisme élevé afin d'être reconnue par ses pairs
  • Faire reconnaitre l'impact de l'environnement subtil ou matériel sur notre état de santé.
  • Faire (re)découvrir la magie naturelle qui nous entoure.

L'École nationale de géobiologie offre 3 niveaux de formations cumulant 389 heures de formations théoriques et pratiques:

Adresse

1750B, rue des Cascades
Saint-Hyacinthe. J2S 3J1 Canada

Courriel et site web

Courriel: info@ecoledelaterre.com
Site Web: www.ecoledelaterre.com
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